Le juge a souverainement estimé que si le défunt n’avait laissé aucun écrit pour exprimer ses volontés quant à ses funérailles, il résultait de témoignages d’amis et de voisins qu’il souhaitait être incinéré, et que s’il était athée, il avait néanmoins accepté que sa fille soit baptisée et disait vouloir laisser le choix à ses enfants et à sa compagne de la manière dont ils l’accompagneraient lors de son décès.
A la suite du décès survenu à Limoges d'un ressortissant marocain domicilié en France, sa concubine et ses deux enfants issus d’une précédente union ont prévu une célébration religieuse dans une église catholique et l’incinération de sa dépouille. La mère du défunt, sa sœur et ses frères se sont opposés à la crémation pour des raisons religieuses. Le premier président de la cour d’appel de Limoges a dit que les funérailles seraient organisées (...)
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