Le testament doit être rédigé dans une langue que le testateur comprend pas. A défaut, l’acte ne peut être considéré comme l’expression de sa volonté et il doit être annulé.
M. T., de nationalité allemande, est décédé en France, où il résidait, après son divorce d’avec Mme K., laissant pour lui succéder ses enfants (les consorts R.), en l’état d’un testament olographe daté du 25 mars 2002 instituant sa soeur, Mme H., légataire (...)Cet article est réservé aux abonnés