L'irrigation ne justifie pas la baisse du débit minimal biologique d'un cours d'eau

L'irrigation ne justifie pas la baisse du débit minimal biologique d'un cours d'eau

Le tribunal administratif de Montpellier annule la décision préfectorale ayant refusé de relever les débits minimums biologiques relatifs aux prises d’eau de certains canaux qui devaient assurer l'irrigation.

Des arrêtés préfectoraux du 6 septembre 2017 ont fixé le débit minimal à laisser à l’aval immédiat de la prise d’eau des canaux d’Ille, de Thuir, de Peu del Tarres, de Régleille, de Perpignan et de Millas Nefiac. Ces prises d’eau ont pour (...)
Cet article est réservé aux abonnés
Vous êtes abonné ?
Identifiez-vous
Vous souhaitez vous abonner ?
Découvrez nos formules