Interrogée sur le fait de savoir si, en cas de divorce suivi d’un remariage, le nom de l’ex-époux ne pourrait être utilisé qu’avec l’accord de celui-ci, la ministre de la Justice a rappelé, le 8 octobre 2009, que l’un des époux peut être autorisé à conserver l’usage du nom de l’autre, si celui-ci y consent ou, à défaut, avec l’autorisation du juge s’il justifie d’un intérêt particulier pour lui ou pour les enfants. Elle précise (...)
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